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Art et poèmes

Art et poèmes
  • Voici un blog où vous pourrez lire mes reflexions sur la vie mais aussi mes amours . Dans ce blog je posterais aussi les poèmes d'autre auteurs qui me semblent particulierement doué . Beaucoups d'ego me direz vous? Certes mais il en faut, je l'assume, et
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14 décembre 2004

Que les couleurs, fleurs et chaleurs deviennent

Que les couleurs, fleurs et chaleurs deviennent nos mœurs .  
Que ce ciel bleu, soit chaque heure dans mon cœur.
J’aime tes yeux, tes hanches, tes lèvres, ton buste, et toutes ces rondeurs .  
Beautés naturelles, beautés humaines, beauté féminines,
Que ces regards, ces sourires, ces paroles félines me redonne bonne mine .  
Esprits, folies, écrits, que les créations de la vie sont fines .  
Père, mère, frères et sœurs, à jamais présents dans nos cœurs,
Soyez cette douce fureur qui nous pousse à l´ honneur .  
Tout autour de nous la rends douce cette sensible douleur

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14 décembre 2004

Cœur retrouvé . Tes doigts m´ effleurant, Tes

Cœur retrouvé .

Tes doigts m´ effleurant,
Tes yeux me caressant,
Tes lèvres m´ embrassant,
Tant de plaisirs envoûtants,
Que chaque jour tu me donnes.
Toi mon ciel, toi ma madone!

Aujourd’hui je te livre,
Mon âme, mon cœur et mes lèvres.
Pour que ma flamme à jamais,
Embrase le corps qui t´ aimait.

De ta bouche j´ ai reçus,
Cet aphrodisiaque divin,
Qui raviva un cœur perdus,
Au bord d´ un ravin!

14 décembre 2004

EXIL ET VERTUS Alors je fus obligé de m´

EXIL ET VERTUS

Alors je fus obligé de m´ expatrier,
Pour avoir trop aimé la terre qui m´ accueillit,
Celle pour qui, toutes les nations j´ avais défié,
Et maintes fois, mis en péril toute une vie.

Et maintenant, isolé de toute mes terres,
J´ erre sur ces plaines abandonnées par Démeter,
Où seul l’espoir de retrouver un jour mon toit,
Me permet de surmonter mon manque de foi.

Foi en mes pères, en ma patrie et en mon roi,
Foi qui ignore de cette cour l´ hypocrisie,
Foi qui met en place l’avenir d’une patrie,
Foi qui me valut d’être accuse par la loi.

Mais je continue pour voir le retour du prince,
Que j’avais éduqué, admiré et aimé,
Cet enfant qui croyait encore en une France,
Et une noblesse charitable et respecté.

Aujourd’hui je pleure cette âme éperdus,
Cet honneur, ces vertus, et ses espoirs perdus.
Aujourd’hui je vis avec cet honneur intact,
Faussement salis par des dires et non mes actes.

14 décembre 2004

Idéal Il existe dans chaque chose une image

Idéal

Il existe dans chaque chose une image parfaite.
Et enfermée dans une cruelle réalité,
Elle ne peut qu'espérer avec sérénité,
Qu'un jour quelqu’un écoute chanter cette voix muette .

Cette voix si familière, qui plaît à tout esthète,
Et abreuve de remords celui,  qui par lâcheté,
S'est persuadé qu'il ne l’a pas écouté .
Ecoutez là chanter la douce alouette .

Je la libère de ces chaînes, elle compose des rimes,
Par ma voix elle s'exprime, par sa voix je m'exprime.
Avec elle aucun doutes ni regrets, mais une joie,

Qui me rend fier d'être ce que je suis, ce féal
Sans honte, n'ayant pour seul juge que sa propre loi.
C'est mon but, toute ma vie, mon seul Idéal.
14 décembre 2004

Toi reine de tout les cœurs! Moi voyageur des



Toi reine de tout les cœurs!
Moi voyageur des flots de l´ amour,
Cherchant à maîtrisé de ce fleuve le cour!
Jamais d´ yeux ne s´ était poser sur moi avec tant de douceurs!

Un regard plus acéré que tout crocs,
Plus transperçant que tous mots,
Et pourtant ton regard si tendre,
A sut à jamais mon cœur fendre!

Brise, à ce jour il renia toutes bible,
Pour aimer cette femme inaccessible,
Qui pourtant m´ a ouvert son cœur,
Recherchant d’une flamme la chaleur.

Aujourd’hui je t´ écris pour louer,
Tout cet amour dont tu as sut gracier
Un misérable qui ne méritais d’une déesse,
Qu’un mépris mérite ou une indifférence perverse!

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14 décembre 2004

A la lueur de cette flamme, Qui réchauffe notre

A la lueur de cette flamme,
Qui réchauffe notre âme,
J´ avance par delà mes peur
Poussé par cet frêle ardeur.

Oubliant toute les saisons,
Je cherche, inlassablement,
Ma famille et ma maison,
qui m´ attirent tel un aimant.

Mais que ferais je dès lors ?
Je ne puis le deviner.
Mais je verrais mes héritiers,
Et avouerais tous mes torts.

14 décembre 2004

Le soleil brille, le ciel est bleu, Et les

Le soleil brille, le ciel est bleu,
Et les bourgeons fleurissent.
Le vent m'abreuve de caresses,
Et m'emporte par delà les cieux.

De là haut, j'admire ces grandes plaines
Verdoyantes, leurs hautes herbes ondulent
Au gré des vent capricieux et rebelles.
Le printemps est là, et j'admire la scène.

Par ce soir de décembre s'entremêlent
Nos doigt engourdis. A tes cotés,
Je vole et je regarde la pièce se jouer,
Car à tes cotés, le printemps est éternel .  

14 décembre 2004

Lumière d'un matin, soleil d'une journée, étoile

Lumière d'un matin, soleil d'une journée, étoile d'un soir .

Nous étions jeunes, nous étions fous,
Nous nous embrassions sous une feuille de houx .
D'un regards tu éveilla mon cœur,
J'attira l'attention du tien de quelques fleurs .

Tu étais devenus cette lumière du matin .
Celle qui nous réveille après un sommeils,
Qui nous redonne la vie, qui tend la main,
Et qui fait que ce jour n'aura pas de pareils .

Nous étions unis, nous étions vivants,
Nous nous aimions sous un toit .
D'un regard nous faisions des choix,
Et nous regardions vers l'avant .

Tu étais devenus le soleil d'une journée.
Celui qui sèche toutes nos larmes .
Qui réchauffe les cœurs et fais fondre les armes,
Et qui fait que notre ciel reste éclairé .

Nous sommes aujourd’hui paisibles,
Nous vieillissons sous un toit .
D'un regards je te vois partir sans moi,
La mort te prends pour cible .

Tu es aujourd’hui l’étoile d'un soir .
Celle que je regarde dans le noir ,
Qui éclaire ma fin, apaise mes angoisses,
Et qui fait que je n'aurais plus jamais soif . 
14 décembre 2004

Mort d'un père, naissance d'un homme." Mort d'un

Mort d'un père, naissance d'un homme."

Mort d'un homme, mort d'un exemple,
Mort d'une enfance facile et heureuse.
Depuis ce jour d'automne, ce mercredi,
Où une mère pleura, une fille cria,
Depuis cet annonce, d'un père mort,
Je me construit par moi même, par ma peine.
Aucune larme, aucun cris, seul le silence,
Occupait cet âme perdus, abandonné, apeuré .
La porte s'ouvre je sors, les bois me font face,
Je pénètre dans cette maison accueillante,
Quelques appels derrières moi se font entendre,
Appels irréels, qui n'atteigne ma pensée .
Je cours, je cours encore et encore,
Je gravis ce chemin entoure de châtaigniers,
Apres une course effreine, le souffle me quitte,
je m’arrête, je le vois cet arbre, mon sauveur.
Des branches basses me permette de l'escalader,
je monte toujours plus haut, mais il y a une fin .
Je m’arrête, je m'assoie, une fleur tombe,
Une larme la suit, un ruisseau d'amour la poursuit.
En haut de cet arbre, il est seul, personne ne le vois,
Demain il deviendra fort, il ne pleurera plus,
Mais aujourd’hui cet enfants de sept ans,
Pleurs un amour perdus, il pleure son père .

14 décembre 2004

Penses tu qu'un jour viendra, Où nous vivrons

Penses tu qu'un jour viendra,
Où nous vivrons ensemble?
Un jour où le ciel sera bleu,
Un jour avec toi dans mes bras?

Un jour qui nous autorise ,
Sans crainte de leurs mépris
De nous aimer avec franchise,
Sans attendre aucun sursis.

Un jour, pour nous aimer,
Pour te regarder dans les yeux,
Par un crépuscule étoilé,
Du plus profonds des cieux.

Ce jour-là, je n'y croie pas,
Mais tant que tu l'attendras,
Je serais toujours à tes cotés,
A attendre ce ciel éclairé.

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