14 décembre 2004
Mort d'un père, naissance d'un homme." Mort d'un
Mort d'un père, naissance d'un homme."
Mort d'un homme, mort d'un exemple,
Mort d'une enfance facile et heureuse.
Depuis ce jour d'automne, ce mercredi,
Où une mère pleura, une fille cria,
Depuis cet annonce, d'un père mort,
Je me construit par moi même, par ma peine.
Aucune larme, aucun cris, seul le silence,
Occupait cet âme perdus, abandonné, apeuré .
La porte s'ouvre je sors, les bois me font face,
Je pénètre dans cette maison accueillante,
Quelques appels derrières moi se font entendre,
Appels irréels, qui n'atteigne ma pensée .
Je cours, je cours encore et encore,
Je gravis ce chemin entoure de châtaigniers,
Apres une course effreine, le souffle me quitte,
je marrête, je le vois cet arbre, mon sauveur.
Des branches basses me permette de l'escalader,
je monte toujours plus haut, mais il y a une fin .
Je marrête, je m'assoie, une fleur tombe,
Une larme la suit, un ruisseau d'amour la poursuit.
En haut de cet arbre, il est seul, personne ne le vois,
Demain il deviendra fort, il ne pleurera plus,
Mais aujourdhui cet enfants de sept ans,
Pleurs un amour perdus, il pleure son père .
Mort d'un homme, mort d'un exemple,
Mort d'une enfance facile et heureuse.
Depuis ce jour d'automne, ce mercredi,
Où une mère pleura, une fille cria,
Depuis cet annonce, d'un père mort,
Je me construit par moi même, par ma peine.
Aucune larme, aucun cris, seul le silence,
Occupait cet âme perdus, abandonné, apeuré .
La porte s'ouvre je sors, les bois me font face,
Je pénètre dans cette maison accueillante,
Quelques appels derrières moi se font entendre,
Appels irréels, qui n'atteigne ma pensée .
Je cours, je cours encore et encore,
Je gravis ce chemin entoure de châtaigniers,
Apres une course effreine, le souffle me quitte,
je marrête, je le vois cet arbre, mon sauveur.
Des branches basses me permette de l'escalader,
je monte toujours plus haut, mais il y a une fin .
Je marrête, je m'assoie, une fleur tombe,
Une larme la suit, un ruisseau d'amour la poursuit.
En haut de cet arbre, il est seul, personne ne le vois,
Demain il deviendra fort, il ne pleurera plus,
Mais aujourdhui cet enfants de sept ans,
Pleurs un amour perdus, il pleure son père .
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